Identification et caractéristiques de base

• Nom botanique : Indique le nom scientifique de la plante.
• Famille : Classification biologique.
• Strate : Niveau où l’arbre se situe dans l’écosystème, souvent utilisé pour la conception de forêts-jardins. Exemple : Arbre, arbuste, arbrisseau, couvre sol, liane …

Conditions de croissance et exigences du Sol

• Exposition : Besoins en lumière (de 1 à 5) ; 4/5 indique qu’il préfère une forte lumière.
• Besoin en eau : Mesuré sur une échelle de 1 à 5 ; ici, 3/5, donc un arrosage modéré.

LES ZONES USDA

Le concept de zones USDA est américain, il a été créé par le département de l’Agriculture des États-Unis (U.S Department of Agriculture, d’où l’appellation USDA). Il s’agit d’un découpage géographique en 26 zones isothermes qui repose sur la moyenne des températures minimales des 20 dernières années. Concrètement, ces indicateurs traduisent la « température minimale probable » que votre région connaîtra en hiver, ce qui est fondamental lorsque l’on parle de rusticité !

Cette façon d’appréhender les zones de rusticité est utilisée dans de nombreux pays, dont la France. Les zones USDA ont l’avantage d’être assez précises et d’être utilisées très largement dans le monde. L’échelle comprend 26 échelons mais en France, seuls 10 sont utilisés, de la zone 6a à la zone 10b.

Tableau récapitulatif :

LEXIQUE LIEE A LA POLLINISATION

• Autogamie : Mode de reproduction où une plante s’autoféconde grâce à son propre pollen.
• Allogamie (Pollinisation croisée) : Fécondation d’une plante par le pollen d’un autre individu de la même espèce, favorisant la diversité génétique.
• Autofertile : Plante capable de produire des fruits et des graines en s’autofécondant, sans nécessité de pollen d’un autre individu.
• Dichogamie : Mécanisme où les organes mâles (étamines) et femelles (pistils) d’une fleur ne mûrissent pas en même temps, réduisant l’autofécondation.
• Hétérostylie : Présence de différentes longueurs de styles et d’étamines chez une même espèce pour favoriser la pollinisation croisée.
• Anémophilie (Pollinisation par le vent) : Mode de pollinisation où le pollen est transporté par le vent, typique des graminées et des conifères.
• Entomophilie (Pollinisation par les insectes) : Pollinisation réalisée par des insectes (abeilles, papillons…), attirés par les couleurs, les odeurs et le nectar des fleurs.
• Ornithophilie (Pollinisation par les oiseaux) : Transport du pollen par les oiseaux, notamment les colibris, attirés par les fleurs aux couleurs vives et riches en nectar.
• Chiroptérophilie (Pollinisation par les chauves-souris) : Mode de pollinisation où les chauves-souris transportent le pollen, fréquent chez certaines plantes tropicales.
• Hydrophilie (Pollinisation par l’eau) : Dispersion du pollen par l’eau, notamment chez certaines plantes aquatiques.
• Cleistogamie : Mode de reproduction où les fleurs ne s’ouvrent pas et s’autofécondent directement, garantissant la production de graines.
• Zoogamie (Pollinisation par les animaux) : Transport du pollen par divers animaux (insectes, oiseaux, chauves-souris…), favorisant la reproduction des plantes.
• Siphonogamie : Mode de fécondation des plantes à graines où le pollen développe un tube pollinique pour acheminer les gamètes mâles jusqu’à l’ovule.
• Myrmécophilie (Pollinisation par les fourmis) : Interaction entre certaines plantes et les fourmis, qui participent à la dispersion du pollen ou des graines.
• Monoïque : Plante portant à la fois des fleurs mâles et femelles sur un même individu, permettant la reproduction sans autre plante.